Le break pour Peugeot c’est une histoire de famille. Nombreuse. Et ça fait 70 ans que ça dure. Depuis le lancement un peu après la fin de la Seconde Guerre mondiale de la 203 familiale (on ne disait pas encore break) première du genre, la gamme a été très largement développée. Chaque modèle, d’abord présenté sous les traits d’une berline a vu apparaître une version familiale, break ou commerciale. Après la 203, la marque au Lion va proposer deux versions de son break 403. Elle sera remplacée dès 1962 par la 404, tandis que la 203, break toujours, attendra 1965 et l’arrivée de la 204 pour avoir une descendance. Puis de nouveaux chapitres s’ouvrent à mesure que le temps passe : 304 et 504 break dans les années 70, 305, 505 et 405 break dans les années 80, 306 et 406 SW (on ne les appellera plus jamais breaks) dans les années 90. Au début des années 2000, Peugeot fait évoluer le genre avec deux propositions originales : une 206 SW au gabarit particulièrement réduit pour un break, et une 307SW qui reprend certaines bonnes idées vues dans les monospaces.
Une nouvelle 308 SW arrive bientôt
Enfin, les versions SW de la première 308 et de la 407, ainsi que celles des 508 ferment la marche avant l’arrivée d’une nouvelle 308 SW aux lignes racées et dynamiques. Un modèle pour lequel il faudra patienter jusqu’à l’an prochain pour en voir sur les routes, et qui, selon Peugeot devrait séduire grâce à son sens de l’accueil pour les passagers et leurs bagages (plus de 600 litres banquette en place). Un volume qui passe à plus de 1 600 litres banquette rabattue. Peugeot proposera dès le lancement de nombreuses motorisations, dont deux hybrides rechargeables de 180 et 225 ch.